Pour cette dernière conférence de la saison 208-2019, Michel, alors qu'il nous avait annoncé la grotte de Bedheillac, nous a présenté – avec beaucoup d'humour et à la façon d'une célèbre émission de télévision – le vol et la chute d'Icare. Une excellente soirée ponctuée de nombreux fou rires qui restera dans nos mémoires !
Vous avez peur des turbulences en avion ? Bonne nouvelle ! Le faucon crécerelle est le seul rapace à pouvoir pratiquer le vol stationnaire. Il se place face au vent, ajuste son incidence, et baisse la tête. Comme suspendu à un fil, parfaitement stabilisé, il scrute le sol à l’affût de la moindre proie. Une technique de chasse qui le rendrait 10 fois plus efficace.
Le faucon maîtrise les forces du vent et les turbulences. Grâce à ses plumes, il arrive à sentir et évaluer les changements dans la vitesse et l’incidence des courants d’air. Ces informations sensorielles l’aident à ajuster son plumage et sa trajectoire. Il réalise des battements d’ailes de compensation en fonction des flux d’air ressentis. Cette stratégie a inspiré des chercheurs de l’Université de Melbourne pour développer un système anti-turbulences pour avions. Des capteurs placés sur les ailes analysent la vélocité et l’angle des courants d’air et permettent au système de contrôle de l’avion d’ajuster la trajectoire. Le résultat est bluffant !
Le vol du faucon crécelle
Vous avez peur des turbulences en avion ? Bonne nouvelle ! Le faucon crécerelle est le seul rapace à pouvoir pratiquer le vol stationnaire. Il se place face au vent, ajuste son incidence, et baisse la tête. Comme suspendu à un fil, parfaitement stabilisé, il scrute le sol à l’affût de la moindre proie. Une technique de chasse qui le rendrait 10 fois plus efficace. Le faucon maîtrise les forces du vent et les turbulences. Grâce à ses plumes, il arrive à sentir et évaluer les changements dans la vitesse et l’incidence des courants d’air. Ces informations sensorielles l’aident à ajuster son plumage et sa trajectoire. Il réalise des battements d’ailes de compensation en fonction des flux d’air ressentis. Cette stratégie a inspiré des chercheurs de l’Université de Melbourne pour développer un système anti-turbulences pour avions. Des capteurs placés sur les ailes analysent la vélocité et l’angle des courants d’air et permettent au système de contrôle de l’avion d’ajuster la trajectoire. Le résultat est bluffant !
Premières ailes battantes
Voler de ses propres ailes...
Un robot qui vole comme un oiseau